Description du caractère de votre personnage en une 20aine de lignes.

« Avant d’avoir atterrie dans cette ville maudite ma vie était bien meilleure avant. » Voila quelques paroles échangées au cours d’une conversation de mademoiselle Sophie-Line. Vous connaissez le dicton : « Il faut se méfier de l’eau qui dort. » et bien, si on avait un dicton à appliquer à chaque personnes, on attribuerait sûrement celui-ci à cette jeune femme de vingt-quatre ans. Sous ses apparences de gentille fifille à papa, se cache d’horribles évènements. Et c’est moi qui vais vous raconter sa tragique terrible histoire.

C’était un jour froid de février, le vingt-cinq, ou vingt-six, que madame Lisa Desportes mis au monde là petite Sophie-Line, aux côtés de son mari, Esteban, du même nom. Ces jeunes parents, âgés respectivement de dix-huit et vingt ans seulement, étaient sûrement le couple le plus heureux ce jour-ci.
Grandissant dans un milieu moyen, on ne peut dire que Sophie-Line fût confrontée à la vie dès son plus jeune âge, ni qu’on ne la lui mâchait. Sa jeune mère lui inculquait des valeurs que sa mère lui avait apprise, qui elle-même les avait apprises de sa mère. Les mots d’ordres de Lisa étaient « Respecte-toi si tu veux qu’on te respecte ». La jeune fille aura passer les trois quarts de son enfance à entendre ces paroles. A l’âge de cinq ans, elle se fût découvrir un QI supérieur aux normes. Ecoles de surdoués, cours de piano, guitare, violon, chant, danse, théâtre suivirent son adolescence. Elle fût étouffée par ses parents dont seul la réussite de leur fille ne comptait. Ses seuls amis étaient les livres et les professeurs. Elle n’aura pas de vie sociale jusqu’à l’âge de ses quinze ans, où la rébellion lui tendit le bras.
Elle venait tout juste d’acquérir son bac, quand les vacances d’été pointèrent leur nez. Ses parents, en guise de récompense d’un travail acharné durant ces dix dernières années, lui offrirent un mois de vacances aux caraïbes en camp de vacance. Elle allait enfin pouvoir rencontrer du monde, ou plutôt le monde extérieur. Fêtes, alcool, cigarette, beuh, shit... A quinze ans, vous vous dites qu’elle à toute la vie pour tout découvrir. Elle, elle s’est dit qu’elle avait un mois. Comas éthyliques, overdose de drogues, de sexe, elle avait tout fait. A son retour, ses parents, qui avaient bien évidemment reçut des coups de fil du camp à chaque incident, étaient furieux. Ils la privèrent de sorties, de musique, télé, ordinateur, portable. Elle fût encore une fois privée de vie.
Pendant deux longues années, Sophie-Line fût enfermée chez elle, ou à l’université, résilier à travailler d’arrache pied pour, encore une fois, faire la fierté de la famille Desmarres. C’est alors qu’à dix-sept ans, sa rébellion refit surface. Des poussées d’agressivité lui venaient et une folie montait en elle. A l’âge de dix-huit ans elle tua ses parents mais ce crime fut tut en suicide. La jeune femme enchaîna les meurtres, en commençant par sa famille. Quand tout les Desmarres connus furent achevés par des morts plus horribles les unes que les autres, Sophie-Line s’exila de Paris et partie pour Edinburgh où son activité criminelle continuait son chemin sans jamais laisser de traces.
Aujourd’hui, elle est connue à Edinburgh comme la chocolatière de la ville, mais vous le savez à présent, derrière son comptoir, son tablier marqué : Sophiel’s Chocolats et ses sourires enfantins, se cache une horrible histoire… L’histoire de Sophie-Line Emma Desmarres.

« Au début, je trouvais qu’Edinburgh était une ville calme, peut-être trop à mon goût. J’avais penser que grâce à ça, je me débarrasserais de mon pêché – dont je ne citerais pas le nom – (rires). Mais quand j’ai compris les activités qui s’y déroulaient et j’ai replongée dans le noir. Je suis un peu triste pour ça, malgré que je ne me déplaise pas ici, j’aime beaucoup les habitants et la ville, elle à un certain charme qu’on ne verra jamais ailleurs, malgré qu’elle m’ait fait replongée. Je voudrais remercier les habitant qui ont réussit à capturer mon cœur pour le chérir, mes amis, mes amours, mes amants, mes ennemis. Je remercie aussi ma famille de m’avoir guider ici ! » Voici les paroles de Sophie-Line, dans le journal local d’Edinburgh, elle à été interviewer à sa chocolaterie.